Utiliser l’énergie pour servir le grand dessein

Croire qu’on ne peut pas avoir quelque chose, rend ce quelque chose encore plus attrayant. C’est la raison pour laquelle l’Homme le désire tant et s’y accroche tant.

Se créer un besoin c’est se faire croire qu’on ne peut pas l’avoir.

Une fois que le besoin est comblé, celui-ci n’existe plus. Si nécessité il y a pour vivre et que cela est naturellement pourvu, le besoin n’est tout simplement pas créé.

Ainsi l’Univers pourvoit à tous nos besoins car l’énergie est présente partout à l’intérieur de celui-ci.

Nous en faisons partie et nous en bénéficions par nature, surtout que nous sommes un concentré de l’énergie qui s’est formé pour répondre à un grand dessein planétaire.

Maintenant l’énergie circule en permanence. Elle nous rend créateurs quand nous la concentrons à créer, dans le but de servir ce grand dessein.

Que pensons-nous créer et que créons-nous vraiment? La force mentale alignée avec le cœur de l’âme, l’essence divine, permet de créer des montagnes, des pyramides, des villes ou des planètes entières. A quel dessein contribuons-nous?

Si l’argent est le remède, créons de l’argent, si quelque chose est la solution, créons ce quelque chose.

Dans tous les cas faisons circuler l’énergie depuis la matrice d’énergie jusqu’à nous et de nous jusqu’à la matrice d’énergie. Car l’énergie est prêtée puis rendue, pour toujours se déplacer, alternant d’un état non manifesté à un état manifesté et dans l’autre sens.

L’énergie au service du grand dessein de la vie est illimitée.

Cessons de juger et de jauger avec notre tête, pour savoir ce qui fait partie ou non du grand dessein, seul le cœur sait par sa claircognizance.

L’énergie manifestée dont le vivant n’a plus besoin disparaît simplement aux yeux des vivants pour devenir non manifestée et continuer à circuler.

Tout est disponible, et l’univers répond sagement à ce que nous croyons.

Ainsi nos besoins sont pourvus quand nous cessons de croire en jugeant et que nous vivons simplement en laissant circuler l’énergie comme cela sert naturellement le grand dessein.

Quand l’Homme cesse de juger et de réclamer l’assouvissement de ses besoins, il s’ouvre alors en permanence à la véritable abondance qui est libre de toutes croyances.

Merci, Merci, Merci