Ce dont l’Homme a besoin, se révèle à lui lorsqu’il est prêt à l’accueillir

En tant qu’être d’énergie issu de la Source, nous sommes un enfant de cette énergie Divine. Nous sommes comme une paire d’yeux (Dieu) pour cette énergie, qui explore individuellement ce qu’elle peut être, en manifestant son énergie avec une forme particulière, qui lui donne sa propre identité. En tant que paire, deux polarités sont manifestées, au sein de l’être créé.

Avoir la même nature que cette énergie, rend l’Homme créateur à son tour. C’est par une panoplie d’expériences, que celui-ci va faire des hypothèses, qu’il va croire pleinement, pour aboutir à une compréhension de la corrélation entre engendrer une création et expérimenter ses conséquences. Il va ainsi se faire ses propres conclusions et les réajuster, tel un scientifique de la vie, dans l’équipe du laboratoire de la création, appelée Dieu.

Cette grande équipe se répartit les tâches en fonction des zones de recherche à explorer, dans les différentes strates de l’existence, des particules les plus proches du centre de Dieu, aux particules les plus denses dans la manifestation de cette énergie.

En fonction de la densité des particules et de la taille, les équipes formées ont une texture, une forme, une taille, et des capacités à évoluer sur leurs zones de recherche, propres au lieu d’expérimentation.

La vie peut être considérée comme un laboratoire, ou de manière plus légère, comme un lieu d’apprentissage, où la vie découvre ce qu’est l’énergie de Dieu et comment l’utiliser pour créer en toute harmonie.

Parce que l’Harmonie est la cohésion de l’ensemble, qui permet à toutes les particules, de se maintenir liées, dans leur perfection originelle, c’est-à-dire dans un état d’être optimal, pour que l’intégralité fonctionne au meilleur de ses capacités.

Ainsi l’être individualisé crée et expérimente, à travers sa forme, à travers son état d’être de là où il se trouve, avec les perceptions propres à sa qualité d’existence, à sa forme d’être. Il reçoit le retour de ce qu’il crée et le perçoit avec ses propres récepteurs. Comme l’expérience se vit en équipe, chaque participant contribue à créer l’ambiance, qui va déterminer un lieu d’expérimentation collectif. Les retours de création se vivent donc en équipe, sur un même site.

L’homme, humanoïde, vivant à la surface de la Terre, est une équipe au sol, qui explore un terrain de jeu où les particules sont très denses. Ainsi lui-même, en tant que forme, est dense. Les récepteurs de son corps, sont à la hauteur de la densité du milieu sur lequel il vit. L’Homme a été pourvu de multiples sens ; avant tout il possède les mêmes que ceux de son père créateur Dieu, mais en expérimentant un milieu dense, nombreux de ces sens ont été cristallisés et endormis. Il utilise alors les plus denses, qui sont la capacité physique d’appréhender le milieu dans lequel il vit, ressentir des émotions et traiter des informations mentales.

Plus l’Homme harmonise ses récepteurs, et plus généralement son corps, plus il rendra fluide la circulation et permettra l’évacuation des cristallisations. En améliorant la circulation énergétique dans son corps, il récupère, peu à peu, les capacités que son corps lui permet de manifester, entre autres de pouvoir traiter des informations sur des plans plus subtils. Dans ces couches subtiles, se trouve celle où sont stockées les données recueillies, par l’énergie globale de l’individu lui-même, lors de ses expérimentations. Cette mémoire lui permet de conserver les expériences, pour ensuite les traiter et mettre à jour ses conclusions.

Il se trouve aussi les couches subtiles qui relient l’individu en tant que forme, à sa forme plus globale, source mère de plusieurs expérimentations en même temps. Puis les couches relient de plus en plus les sources mères à une source plus grande encore, qui contient plusieurs sources, et ce depuis le centre de Dieu jusqu’à chacune des sources, qui se répartit en plusieurs sources. Tel un arbre de la création, qui pousse depuis le centre de Dieu, sont émanées de nombreuses ramifications, qui créent elles-mêmes leurs ramifications, indéfiniment.

Lorsqu’une source a atteint un champ d’expérimentation qui n’aboutit plus sur des conclusions évolutives, c’est-à-dire qui ne nourrit plus la vie, la source tombe de l’arbre d’elle-même et se refond dans le centre de la source, pour être recyclée.

Ainsi l’Homme reçoit l’énergie de ses parents créateurs, celle de Dieu son père, énergie Source de tout ce qui est et celle de la Source divine sa mère, qui lui donne forme et le nourrit en son sein. L’Homme a besoin de cet Amour pour exister, celui de ses parents créateurs, qui maintient la cohésion de toutes formes de vie. S’il s’en prive quelque peu, il ressent un manque, qui le pousse à rechercher cette énergie nourricière. Plus le manque est grand, plus la cohésion diminue en son sein, dans son corps, et ainsi il se détériore et connaît le cycle de la mort.

Cette expérience du manque, antagoniste de l’abondance, qui est la nature même du créateur, apprend à l’Homme à s’élever au-dessus des croyances, des hypothèses, qui l’ont conduit à conclure que la vie était possible sans l’Amour de ses parents.

La mort, cycle répétitif dans un contrat d’apprentissage, permet d’accéder à cette élévation de la conscience. Au bout d’un nombre indéfini de morts, par manque d’Amour, par manque de compréhension, par dégénérescence, l’être aboutit à la conclusion que la seule énergie qui lui donne vie est celle de ses parents créateur et nourricier de tout ce qui est. Une fois arrivé à cette conclusion, par ses propres expériences, il permet, une fois que la majorité de son équipe a accédé à cette même conclusion, d’abord à lui-même et ensuite à son équipe, d’expérimenter une vie plus unifiée, car plus harmonieuse, où l’Amour de ses parents lui permet de vivre avec la conscience que la vie est éternelle.

A partir de là, son corps n’est plus soumis à un quelconque manque et peut ainsi vivre aussi longtemps qu’il lui est nécessaire de vivre, selon les plans établis par son équipe.

D’autre part, il permet, grâce à la circulation de l’énergie, d’accéder à plus de ses capacités, et ainsi à créer davantage un cadre de vie, qui répond au besoin d’harmonisation de lui-même et de tout ce qui l’entoure. Les limitations liées à la gravité, qui régissent le monde physique, disparaissent car la densité ayant diminué, les particules sont légères et intemporelles. L’espace-temps est relatif, en fonction de la densité des cellules, qui s’y trouvent. Ainsi plus un corps est léger, plus la vibration augmente et plus il se rapproche du centre de Dieu.

En tant que paire, composée de deux polarités, le mariage doit être parfait pour accéder pleinement à l’équilibre, de la manifestation et de la réalisation de l’être. C’est ainsi que l’Homme expérimente le manque dans chacune des polarités, jusqu’à trouver le point neutre, où l’union du masculin et du féminin centre l’être et lui permet d’exprimer toute sa puissance créatrice.

C’est pourquoi les formes changent, les corps sont des manifestations de vibrations. Plus celles-ci s’accélèrent, plus le corps s’éthérise et devient invisible pour une particule dense. Plus la vibration augmente sa vitesse, plus les ondes absorbent les particules denses et ainsi de suite, sur le chemin de l’ascension depuis la densité jusqu’au centre de Dieu.

Pourquoi vivre la descension ou l’évolution par l’involution, parce que ces équipes font partie du domaine de l’expérimentation, qui font partie du domaine Dieu créateur de vie, qui sont ses paires d’yeux pour mieux comprendre ce qu’il est et comment il peut se manifester.

Merci, merci, merci