Les humains que vous êtes sont plus forts que vous ne pouvez l’imaginer
Chers humains, soyez les bienvenus dans notre espace vibratoire, d’amour et de lumière christique : Celle qui enrichit chacune de vos particules de vie.
Nous voyons en l’humain de belles capacités de dépasser tout obstacle qu’il s’impose et de se surpasser, outre les limites de son mental, de ses émotions et des barrières imposées par lui-même, à travers ses propres congénères.
Nous avons foi en l’humanité que vous représentez et en votre capacité d’accueillance de l’amour que vous recevez.
Si de belles énergies vous traversent et vous font comprendre que tout est surmontable, alors vous avez en vous, vous trouvez vous, la capacité d’aller plus haut et de dépasser ce qui semblait entraver vos projets, pour vous et vos congénères.
Bien que de nombreux congénères souhaitent nuire, des milliards d’autres souhaitent évoluer en leur sein, en leur être, et pour cela, ont compris l’importance de vivre avec Soi et avec tout le reste de ce qui vit.
Si certains évoluent, de par la malveillance, de par la nuisance qu’ils amènent à autrui, c’est parce que cet état les amène à comprendre, à un moment donné, qu’ils sont plus que ce qu’ils croyaient être, qu’ils appartiennent eux-aussi à un monde, où tout est relié, où tout est interconnecté, où tout se meut ensemble.
Alors à ce moment, ils comprennent que rien dans ce qu’ils font, ne leur a procuré satisfaction et qu’ils se nuisent à eux-mêmes, tout comme ils sentent que le monde qui les entoure possède déjà tout, et que cela est disponible en eux, pour tous.
Si vous sentez la détresse de vos congénères, si vous sentez votre propre détresse, c’est que vous commencez à comprendre, que tout est relié, que tout interagit dans ce qui est, dans le monde de Dieu père/mère, la source de toute vie.
Nous allons même dire que tout est interpénétré, dans la moindre particule, au sein de toutes les cellules-âmes et cellules de toutes vies.
Si l’Un subit une perturbation, tout ce qui le constitue en récolte les fruits. Les récoltes sont parfois difficiles, les graines poussent, manquent de fraîcheur et sentent la vie qui s’effrite en leur corps, pour parfois s’éteindre.
C’est ce qu’il se produit en de nombreux êtres en ce moment. Beaucoup se sentent périr de l’intérieur, sans savoir, sans croire, juste en devinant que la vie les quitte… la vie dans la forme physique. Et cela les effraie, les rendent vulnérables à toute psychose intérieure comme extérieure, à toute agression physique ou énergétique, à toute possession de leur corps. Cela les conduit au désespoir et à la perte de la mémoire de qui ils sont.
Il ne s’agit pas d’avoir peur, mais bien de voir en ses congénères souffrants, ses propres parts de souffrance intérieure, qui encore impactent l’état d’être au quotidien.
Chacun joue un rôle, chaque être à sa place, permet au grand dessein de se réaliser pleinement dans la matière, pour ancrer la lumière dans ce monde, avec ce qu’il est.
Si vous entamez une forte descente, en marchant le long d’un sentier, vous êtes attirés de par la gravité qui vous entraîne, vers le bas du chemin, vous ressentez une sensation de vitesse et de toute puissance d’avancer si vite et pourtant vous pouvez ressentir de la souffrance dans votre corps, qui, à certains endroits, procure des douleurs. Peut-être souhaitez-vous vous arrêter pour vous reposer un peu, mais la descente vous attire irrémédiablement et parfois vous trébuchez par manque de visibilité de ce qui se trouve devant vos pieds.
Lorsque le plat arrive, vient l’accalmie, là où une fois arrêté, vous reprenez votre souffle, laissez les douleurs s’atténuer, puis repartez à votre rythme. Sur le plat, si rien n’est mis en mouvement, le corps stagne et vous n’avancez pas. Donc vous finissez par reprendre votre chemin, tout à votre vitesse de marche, avec vos douleurs, accompagné par une volonté certaine d’avancer le long du chemin.
Puis s’en vient la montée, au début douce, puis de plus en plus forte. L’effort est soutenu et devient parfois insoutenable, de par les douleurs ressenties, de par la poitrine qui brûle et qui vous empêche de respirer. Plusieurs fois vous ressentez l’envie d’arrêter, la volonté de rebrousser chemin, et parfois vous souhaitez que tout s’arrête, que le corps cesse de vivre, du fait des douleurs insupportables.
Au fond de vous, vous savez qu’après être descendu, il n’y a qu’un moyen de continuer le chemin, en remontant, dans un sens comme dans l’autre. Certains croient que régresser sera le chemin le plus court et le plus facile, car ils ont oublié à quel point la descente était forte et que la remontée le sera tout autant. D’autres s’arrêtent pour laisser passer la souffrance du corps, pour respirer et retrouver enfin le courage d’avancer. Puis ils repartent plus courageux que jamais, puis s’arrêtent à nouveau, jusqu’à ce que le rythme soit plus régulier, entraînant et que la joie ait pris la place de toute douleur dans chaque endroit du corps.
Tel un pèlerin, vous avancez et parfois trébuchez, puis vous relevez, pour atteindre ce sommet supposé, que vous ne percevez pas encore, du haut de vos pieds. En cela, vous avez en vous le courage, vous avez en vous l’adresse et tous les moyens nécessaires en votre possession pour vous dépasser. Vous êtes des êtres forts, dotés de la puissance de l’Amour, celle qui surpasse toute douleur, celle qui vous amène la confiance, celle qui vous fait vibrer, au plus profond de vos cellules, la joie d’être, celle qui vous fait rayonner au-delà du corps qui est vôtre, dans l’espace de l’Être.
Nous voyons cela en vous et nous vous demandons maintenant, pouvez-vous le voir en vous ? Avez-vous regardé cela ? Êtes-vous tournés vers ce qui brille en vous ?
Nous savons que quelque part, sur un chemin en vous, se réalise le début de la reconnaissance de vous en tant qu’Être. Cela fait partie des évènements qui se produisent, des altercations avec vos congénères et des parties réactives de l’humanité, en quête d’elle-même, dans son monde imaginaire où le bien et le mal apparaissent être la seule réalité.
C’est un début d’une nouvelle perception et une fin de la réalité où seuls 2 aspects de la vision de la vie coexistent. C’est une perception plus élevée où tout ce qui se produit est perçu avec plus de possibilités, vues à des fins d’un dessin global de l’existence. C’est dans ce dessein, que chaque évènement, chaque vie, a un sens, pour servir un plan plus grand, où tout coexiste.
Nous vous envoyons tout l’Amour dont vous avez besoin, pour trouver ce chemin de la reconnaissance de Soi, à l’intérieur, dans votre espace sacré du cœur.
Nous vous aimons et avons foi en votre humanité.
Recevez notre bénédiction et nos vibrations du Christ.
Gratitude à chaque être et à toute la vie.
Vos frères et sœurs des étoiles de Vénus, Sirius et Orion.
Merci, merci, merci