L’évolution de l’humanité
Dans un temps très lointain, la planète que nous connaissons sous le nom d’Urantia-Gaïa, fut transformée et mise sous l’égide de peuples sombres qui appartiennent à de basses dimensions. Ces peuples ont profité de la largeur d’esprit des occupants de cette époque, pour leur transmettre de nouvelles perspectives mais aussi des notions de pouvoir et de hiérarchie. Cela n’a pas été rapide, il aura fallu plusieurs milliers d’années pour que cela s’accomplisse. Cela divisa le peuple en 2 camps, ceux qui percevaient le pouvoir comme attractif et réjouissant et ceux qui par-dessus tout vivaient pour ancrer et maintenir la lumière à la surface de la planète.
Ces peuples ont infusé une technologie nouvelle dans l’esprit de ceux qui étaient attirés par le pouvoir. Cette technologie fut la source de la destruction et de la division au sein des peuples de la terre.
Durant les milliers d’années qui ont suivi les catastrophes planétaires successives, d’autres peuples sombres s’invitèrent également sur la planète et profitèrent de la fragilité laissée par ces catastrophes, pour s’immiscer au sein des peuples et investir la planète.
Les peuples furent pervertis et le savoir ancestral des peuples de lumière oubliés, à l’exception de quelques niches cachées, qui avaient pour mission de maintenir ce savoir et de le transmettre, afin qu’en temps voulu, en un temps bien plus avancé, ce savoir soit réactivé par ceux qui auront été initiés. Aujourd’hui les initiés se sont révélés, ceci a commencé il y a environ 50 millions d’années, et cela s’est fortement intensifié depuis la venue du christ, qui s’est révélé comme le sauveur de ces connaissances oubliées, afin qu’elles ressuscitent en la conscience humaine mais aussi en toute créature vivante à la surface de la terre.
Les théories d’aujourd’hui annoncent de grands changements, cela est vrai, le changement est vibratoire, après la résurrection par la transmutation, vient l’ascension.
L’ascension se réalise par étapes, d’abord il y a le réveil, cela consiste à se poser des questions, à réévaluer ses perceptions de la vie, ce qui nous entoure et notre entourage.
Il est important de se comparer aux autres pour constater le changement intérieur et le réveil progressif par rapport à notre entourage et au reste du monde.
La perspicacité, la volonté, le discernement, la vision des auras, le ressenti de l’énergie qui nous entoure, les échanges vibratoires entre êtres visibles et invisibles, entre humains, entre humains et animaux, sont des phases de découvertes tout aussi importantes que celles de l’enfant qui apprend à marcher dans ses premiers mois de vie.
Vient ensuite, le vécu par l’expérience, de sa capacité de créateur par la pensée, l’apprentissage de la maîtrise. Il est important de s’égarer, de se perdre dans les méandres du mental, pour se rendre compte de notre capacité de créateur. C’est en tombant que l’enfant apprend à placer ses pieds l’un devant l’autre, par la répétition des essais, il finit par ajuster sa synchronicité.
Puis arrive l’expression de ses capacités, il apprend à parler, avec son cœur, par la télépathie, par les émotions d’amour et de guérison pour soi et pour les autres, cet amour infini, inconditionnel, intemporel, incomparable, qui unit le tout au sein des multivers, au sein du tout lui-même.
Il apprend ensuite à créer en conscience dans la matière, en affinant ses sens subtiles, par la pensée et par l’amour, son corps de matière perd de sa densité et s’affine, il vibre de manière plus rapide et s’étend dans l’univers par son véhicule de lumière, il devient intemporel, il voyage instantanément, il peut même se bilocaliser, il peut créer et déplacer de la matière par l’intention. Cette étape est aussi importante qu’un enfant qui apprend à dessiner, à créer des sculptures ou à jouer de la musique.
Enfin, il se perfectionne dans la création par l’intention. Il peut se téléporter, il peut voyager dans les lignes de temps, il peut se déplacer instantanément sur un point précis de la grille des multivers qui correspondent à sa dimension. Il travaille au niveau collectif dans les multivers pour la création de planètes, la création d’espèces, de systèmes, de temps, de technologies, il affine ses connaissances des multivers et élargit ses corps au sein de l’univers, pour devenir quasiment transparent aux yeux de la matière dans des dimensions plus basses. Sa volonté est de servir son collectif mais aussi la source elle-même, la source de toute vie, de tous les multivers, de la matière, la source de la création.
C’est en accédant à ce monde dimensionnel, qu’il arrive ensuite à s’élever, dans une compréhension plus grande de la source de toute vie, la matière n’a plus de secrets pour lui, il reste uniquement à des strates dimensionnelles élevées, à la recherche de l’origine du monde, il sert le plus haut, à travers le plus bas, car il renvoie au plus haut les informations qui viennent des strates inférieures. Il fait le lien entre les mondes denses, puis moins denses, jusqu’à sa strate supérieure qu’il informe.
La source a besoin de cellules qui connecte les différentes parties de ses multivers, les cellules voyagent, traversent des membranes, changent de milieu, autrement dit de dimensions. Plus le milieu est dense, plus la notion de temps a son importance, car lorsqu’il y a une pression sur les corps, par la lourdeur de la vibration qui prend corps sous forme de matière, la gravitation se crée, les particules s’attirent par résonance ou se repoussent par manque de résonance, il se crée alors de l’inertie, puis des différences de densité, qui créent des particules en suspension, certaines décantent, certaines flottent, certaines ont la capacité de passer d’une densité à une autre en changeant son taux vibratoire, entre autre sa vitesse de vibration.
Nous sommes des cellules de la source, chacune a une fonction, chacune a un niveau de conscience qui appartient à son taux vibratoire. Les cellules peuvent communiquer entre elles en envoyant des signaux électriques, qui sont impulsés par des émotions sous forme de pensées intentionnelles. Ces signaux électriques sont perçus par des capteurs présents dans chaque cellule.
Certaines cellules n’ont pas la capacité de transmettre des émotions, d’autres le peuvent, cela dépend de leur fonction et de leur densité.
Les cellules font partie elles-mêmes de plus grandes cellules, qui font partie elles-mêmes d’un plus grand corps, leur conscience se situe au niveau de leur propre corps, mais elles font partie de la conscience des plus grandes cellules, puis des plus grands corps, etc. Ceci dans l’infiniment grand ou petit à l’échelle d’une cellule. On appelle cela des dimensions. Le corps influence les cellules qu’il contient par sa propre conscience. C’est une grande conscience invisible mais perceptible pour ses propres cellules, elles suivent une ligne de vie directrice et selon leurs émotions, leurs ressentis, savent si elles contribuent au fonctionnement ou au dysfonctionnement du corps dans lequel elles se trouvent. Se sont comme des poupées russes qui s’emboitent et qui interagissent les unes avec les autres puisque c’est la même énergie, avec des densités différentes, et les cellules du corps occupent des fonctions uniques et différentes qui permettent le fonctionnement du grand corps, qui lui-même contribue au fonctionnement d’un autre corps.
L’énergie dans les différentes zones d’un grand corps est différente, parfois certaines zones sont moins denses, certaines autres zones plus denses, parfois certaines zones fonctionnent, d’autres dysfonctionnent, certaines zones peuvent être vulnérables et des perturbations ont lieu, mais les mêmes zones peuvent être aussi calmes à d’autres moments ; rien n’est figé, ce n’est qu’une succession de moments différents les uns des autres.
Si l’on compare un univers à notre corps, nous pouvons dire que les planètes peuvent être de grosses cellules d’un univers, que nous sommes les cellules au sein de cet univers, vivant sur une cellule particulière ou voyageant d’une cellule à une autre pour transmettre des informations.
Nous sommes des transmetteurs d’informations vibratoires, comme des signaux électriques qui se déplacent dans un système nerveux, nous donnons l’information de l’état d’une cellule, à une autre cellule, qui va elle-même envoyer l’information à une cellule plus grande, jusqu’à ce que le grand corps contenant toutes les cellules, soit informé de l’état de la cellule qui a envoyé l’information, ou de la zone où vivent plusieurs cellules. Comme si notre corps avait une baisse d’énergie ou que nous sentions une douleur à un endroit précis. Nous renvoyons ainsi les informations par effet cascade à plus haut que nous, mais aussi à plus bas que nous (nos propres cellules). La conscience est infinie, puisque nous dépendons de la conscience du grand tout, du grand corps auquel nous appartenons et nous l’aidons à identifier quels sont les états d’être de ses différentes zones et cellules. Ce grand corps ne peut que nous aimer puisqu’il sait que nous faisons partie de lui, comme nos cellules font partie de nous et nous les aimons car elles nous permettent de vivre et d’être tout simplement, quelle que soit notre densité.
C’est ainsi que fonctionne le monde, comme une grosse cellule qui contient d’autres cellules, etc. L’état de notre monde dépend de l’état de ses cellules, qui elles-mêmes vivent dans d’autres cellules. La planète est une cellule qui a également sa propre conscience et nous pouvons se connecter à cette conscience puisque cette grosse cellule appartient au monde dans lequel interagissent toutes les cellules que nous sommes, et que tout ça appartient à une plus grosse cellule, etc.
Nous baignons dans ces cellules, nous avons un rôle de transmission d’informations entre les cellules plus denses et les cellules moins denses, d’une zone à une autre, c’est-à-dire d’un univers à un autre, d’un multivers à un autre, et nous dépendons du grand corps, de la source.