Un message de nos guides pour nous aider à surmonter la contrainte du temps qui passe

Chers êtres de lumière,

Nous aimerions vous rappeler que le temps n’est qu’une question de perception, par rapport à votre propre réalité.

Rien ne dure car tout est en perpétuelle évolution. Ce qui importe est donc le chemin parcouru, qui permet à un être, à un collectif, à une galaxie entière, au tout, de se découvrir lui-même, de vivre par l’expérience, ce qu’est l’amour source de toute vie.

L’aboutissement ne se situe pas dans le résultat final d’un vécu mais par la force que l’être en a retirée, pour mieux comprendre l’Amour.

* Imaginez que vous viviez des traumatismes physiques, et que vous vous retrouviez en convalescence, car la douleur expérimentée dans votre corps, vous donne cette sensation de souffrance. Les sensations physiques ressenties devenant de plus en plus intolérables, vous poussent au repos, au sommeil, à un état de méditation, où vous recherchez l’apaisement, à tout prix.

Que peut votre mental, face à tant de douleur ? Seul le repos, qui constitue cet état, entre le monde de votre esprit et de votre corps, vous permet de trouver cette paix.

Dans ces moments de calme mental, de paix intérieure, d’endormissement, vous vous retrouvez avec vous-même, avec votre esprit divin, qui vous guide dans votre convalescence, en vous apportant cette dimension d’amour, qui permet à vos cellules de se régénérer.

A l’issue de votre convalescence, vous vous êtes rencontré et vous avez placez votre attention au-delà de votre corps physique, ce qui a augmenté la dimension de votre propre réalité, qui vous a permis de faire le lien entre le haut (esprit) et le bas (corps), le bas et le haut. Ce qui vient davantage renforcer votre ancrage dans la matière, car vous avez lié l’ensemble.

Auriez-vous acquis cette compréhension de vous-même, si un magicien extérieur, d’un coup de baguette vous avez guéri ?

* Imaginez que vous viviez un deuil, à travers la perte d’une personne, d’une relation ou d’une situation et que vous ressentiez cette douleur émotionnelle si forte, qu’elle vous donne la sensation d’être coupée du monde et d’être victime des évènements. Les sensations émotionnelles ressenties devenant de plus en plus intolérables, font remonter d’abord de la colère face au monde qui vous entoure, puis de la tristesse, voire du désespoir, face à la sensation de manque, qui vous coupe de toute joie et qui fait baisser la vitalité de votre corps.

Que peut votre mental, à part vous pousser à rechercher à tout prix, l’objet de votre manque, à travers les situations que vous avez vécues ? Si ce n’est une sensation d’insatisfaction et de vide permanent, il n’apporte aucune solution apaisante et durable. Seuls les moments où vous vous retrouvez dans la joie, avec vous-même, à travers votre créativité, à travers vos relations saines basées sur l’amour inconditionnel, à travers des moments d’intériorisation, vous apaisent.

Dans ces moments où les émotions sont à leur maximum et remontent à la surface, après moulte réactions vous vous retrouvez en état de lâcher-prise, en état d’impuissance mentale, où plus rien d’autre ne peut vous apaiser, que de tout lâcher. Après avoir libéré ce qui vous encombrait, vous ressentez un vide, une légèreté passagère, avec un sentiment de réconfort et de joie naissante, avec des nouvelles envies.

Votre esprit divin, parce que vous avez lâché l’emprise de votre mental, a pu vous adombrer et vous envelopper de son amour réconfortant. Et là vous vous êtes rencontrés avec vous-même et avez senti, durant cet instant un moment d’unification avec votre partie divine.

La compréhension de cette relation entre vos émotions et votre esprit, vous donne accès à une vision plus large de la situation qui a provoqué ce deuil et ainsi vous conduit à pardonner toutes les personnes concernées, du fait de cet état de gratitude d’avoir pu ressentir cet amour de vous.

Auriez-vous acquis cette compréhension de la relation d’unification avec vous-même, si un magicien extérieur, d’un coup de baguette vous avez enlevé vos émotions douloureuses ?

* Imaginez que vous vous sentiez trahi, manipulé, trompé, souillé, attaqué, blessé, non considéré et ignoré par autrui et que cela provoque en vous des sensations de colère si fortes que seules les réactions de violence, de vengeance et de haine vous habitent et vous font réagir de manière forte.

Que peut votre mental, à part nourrir ces sentiments discordants, qui vous font réagir de manière de plus en plus violente et nuisible pour vous-même et pour autrui ? Vous créez ainsi des brèches en vous-même, qui servent de terreau fertile à toute énergie discordante, qui ne fait que grandir, provoquant des réactions en chaîne jusqu’à provoquer une auto-destruction.

Plus vous vous libérez de la colère en la reportant sur les autres, plus vous augmentez le champ de manifestions de la colère dans votre réalité, plus vous vous dissociez de vous-même. Seul votre esprit divin vous ressource, lorsque vous vous retrouvez dans un environnement purificateur, comme la nature, un bon bain, une grosse dépense sportive, une méditation, le sommeil ou avec quelqu’un à qui se confier.

Dans tout excès de colère, votre réalité vous met face à votre propre colère. Ainsi, comme dans un miroir vous ne pouvez que constater l’absence d’amour dans votre état et dans toutes les conséquences que cela implique. Face à cette absence d’amour, vous acquérez la compréhension de ce qu’est l’Amour, à travers vous-même.

C’est par la volonté d’annihiler toute manifestation de colère dans votre vie, que vous accédez au pardon pour tout ce qui a été et que vous faîtes grandir l’Amour de vous, à travers vos expériences dans l’incarnation.

Auriez-vous acquis cette compréhension de ce qu’est l’Amour, si un magicien extérieur, d’un coup de baguette avait dissous votre colère ?

* C’est donc le chemin parcouru, à travers les expériences de vie, qui vous fait acquérir ces compréhensions de cet aspect plus grand de vous-même.

Si aujourd’hui, par rapport à ce que vous vivez, un magicien venait arrêter le processus en cours et toutes ses conséquences, auriez-vous ou acquérez-vous toutes ces compréhensions de ce qu’est l’amour, de ce que vous êtes au-delà de votre corps physique, de votre unité avec le tout, et de l’aspect éternel de votre être au-delà de la forme ?

Le chemin est propre à chacun de vous, chacun avance à son rythme, chacun vit ses expériences et trace sa route pour évoluer.

Quand vous acquérez ces compréhensions, vous êtes arrivés au bout de cette route. Si plusieurs êtres arrivent au bout de leur route, chacun avec sa propre direction de compréhension, cela crée une route plus grande et un carrefour.

C’est quand des carrefours et des autoroutes sont créés que cela permet aux autres d’accéder plus rapidement au bout de leur route.

Mais chacun a sa route, peut-être que certains s’autodétruiront en cours de route, cela fait partie du chemin collectif, car toute information récoltée, sert d’expérience au collectif et à tout ce qui est.

Le temps n’est qu’une perception que chacun vit en fonction de là où il est sur sa route :

– Celui qui est arrivé au bout, vit l’instant présent simplement, car il est comblé de la destination où il est.

– Celui qui est en cours de route, se projette avec son mental pour imaginer ce que pourrait être le bout de la route. Plus il accumule les compréhensions sur cet aspect plus grand de lui-même et plus le temps semble rapide avant le bout du chemin. Plus il se sent coupé de sa source, dans l’inconnu total, plus la route lui semble longue et interminable.

Les projections quant au résultat : la forme du bout de la route, les moyens pour y arriver et le délai ne sont que des manifestions mentales, qui accentuent cette sensation de temps et qui crée l’impatience. Les projections créent des attentes et les attentes font stagner l’énergie au lieu de la dynamiser. C’est seulement en vivant pleinement votre route, à chaque instant, que vous arriverez au bout, pour enfin accéder à qui vous êtes.

Nous vous aimons, nous vous chérissons et nous vous envoyons tout notre amour !

Le collectif Pléiadien

Merci, merci, merci