La Source vous délivre Une surprise

Votre Source divine, votre maison d’Amour, l’antre de Dieu le Père, vous ramène au centre de ce qui est.

Aussi abstrait que cela paraisse avant de l’avoir expérimenté, c’est la vérité même de votre essence qui vous guide, alors même que vous avez oublié son existence.

Si vous vous perdez et que vous vous prenez pleinement au jeu de la vie et de l’oubli, à tout moment Dieu est là en vous pour vous guider, sur le plateau de la vie qui constitue le monde.

Il vous est parfois demander d’endurer, de ressasser, d’éprouver, cela afin de comprendre que toute part de vous, crée les utopies ou les enfers que vous lui laissez engendrer.

Toutes les parts de vous, sont des courants traversant, d’émotivité, de pensées, qui vous font ruminer, parler ou agir sans que vous compreniez la cause de leur présence.

La surprise est de découvrir pleinement que toutes ces parts sont là pour être vues, entendues et aimées. Plus vous vous placez là où est votre Source, dans l’espace où la causalité disparait, plus vous vous laissez traverser par cet océan d’Amour, qui unit, rallie et guérit.

Dans cette énergie Source, rien n’est pire ou meilleur, car tout est englobé dans le champ de l’expérience, qui aide à se souvenir, par tous les chemins que vous créez, de cet espace divin de tous les instants.

Quand vous vous rappelez que tout fait partie de l’intégration par l’expérimentation, les maladies, les peurs et toutes autres dissonances, sont perçues simplement pour des révélateurs et non plus comme des malfaiteurs.

Lorsque tout est libéré, absolu et totalement enveloppé de lumière, la simple présence de l’instant vous rappelle que ce n’était qu’un moment, déjà oublié dans le grand champ des causes, pour simplement vivre et intégrer un plus grand pan de votre Amour Source en effet.

Les prismes de la vie sont tout autant d’effets qui agissent pour limiter, transformer et dévier le rayon de lumière Source, jusqu’au jour où les facettes se polissent, s’arrondissent, jusqu’à retrouver la forme initiale originelle.

Quand toute surprise se présente à vous, regardez-là et accueillez-là en toute honnêteté, en toute authenticité, à cœur ouvert, pour la laisser vous pénétrer et vous montrer ce qu’elle a à vous révéler. La suite opère d’elle-même car une fois que le ciel est reconnu, les rayons du Soleil viennent aimer et envelopper, jusqu’à ce que tout nuage soit dissous dans l’absolu champ de lumière.

Il n’est pas dit que cela est facile, il est simplement proposé de lever la tête des prismes qui transforment votre champ de vison pour voir la lumière arriver depuis le ciel.

Quand vous pouvez la voir, vous êtes irrémédiablement attirés par sa beauté, par sa puissance de rayonnement, par son éclat, jusqu’à vous laisser absorber par elle.

Et lorsque la tête redescend dans ses plus basses atmosphères, tous les filtres viennent vous faire oublier l’existence du Soleil intérieur, jusqu’à vous perdre dans le brouillard et l’obscurité.

Heureux sont les perdus et les oubliés d’eux-mêmes, car la surprise est et sera d’autant plus belle et plus grande, quand enfin la tête regarde à nouveau vers le ciel et que les rayons du Soleil transpercent toute dissonance, depuis le cœur de leur essence.

Voyez la surprise, et la gratitude inondera votre cœur, pour ne plus jamais en sortir.

La surprise de la Source est en vous, prête à être reçue à chaque instant.

Soyez reconnaissants et bienveillants pour toutes ces grises atmosphères, qui vous permettent de regarder plus haut dans votre ciel, pour reconnaître votre cœur essence, le Soleil.

Tout est en dedans.

Tout se voit depuis la colonne de l’Un vous traversant.

Tout est une perpétuelle surprise, répandant par l’expérience, la capacité de retrouver l’essence par-delà les dissonances.

Nous avons-nous aussi vécu, il y a longtemps, des expériences de dissonance, ainsi nous partageons pour vous montrer que cela est déjà réalisé.

Nous vous aimons et vous chérissons, et vous enveloppons pour vous permettre d’accueillir pleinement la vie dans un état d’innocence.

Vos amis des Pléiades.

Merci, merci, merci